Bonjour à toi, ami et fidèle lecteur.

Si tu es ici, c'est soit le hasard, soit, tu me connais et tu veux me faire plaisir en me faisant croire que mes histoires intéressent du monde, soit tu es comme moi, tu crois au miracles et tu veux savoir comment ça arrive. (les miracles...)

Le truc c'est quand même que c'est construit dans ma tête.

Je voyais donc ma course de ce week end, Vichy, comme un point de départ de ma saison 2013 avec en point d'orgue ma qualif atteinte à Lanza au roll down après un suspens des plus halletant... C'est cool, ca commence par un IRONMAN, ça se conclue par un IRONMAN, c'est un dimanche, ça fait jour 1 dans le tableau xls, oui c'est un détail, mais j'ai des tocs. Bref, ça va bien pour un J1.

Mais... car il y a un mais. 2012, c'est un peu l'année de la loose, sportivement. Rien pendant l'hiver, un VDF (Véry Difficult Finish) sur le tri pinpom de Pont à Mousson, un DNPA (Did Not Prend l'Avion) à Lanza, un DNF (ça c'est facile) sur le X-terra, faudrait pas que ça recommence à Vichy. Pourtant toute les conditions sont réunies pour. Enfin presque. Je vais pas tout de suite sortir la liste des excuses en carton.

Donc, si je me recentre, soit je termine, quel que soit le temps, et c'est LE point de départ idéal pour une programmation qui m'amène au glorieux 10h15'53, soit je vais pas au bout et c'est le point zéro idéal pour une programmation qui m'ammène au glorieux 10h15'53. On parlera plus tard du fait que mon meilleur temps est de 12h18, mais ça c'est un autre problème.

Maintenant, pour que ca déchire plus, ce que je vais faire, c'est que je vais activer ce blog dimanche. (Si j'y arrive...), ca sera une sorte de feu d'artifice pour annoncer par anticipation mon éclatante réussite.

Je ne pouvais pas conclure ce premier article sans une référence à la réferénce, plutôt mourir debout couvert de sang que couché couvert de merde.

Biz